Bidrace Blockchain et ces pièces MTR sont déjà pré-miné, avec la méthode POS « proof of stake » (et non POW) dans leur propre blockchain «il y a 100 000 000 000 de pièces prête à être redistribué à leurs clients à travers ces fameuse courses »Mais vous savez quoi… la blockchain compte pour tout le monde. .

Venez faire partie du monde de la Cryptomonnaie 100 % ECOLO sur SMARTPHONE / TABLETTE / PC et TOUT LE MONDE aura la chance de gagner de l’argent même ceux qui ne développent pas...

Je vous invite en privé à assister à la présentation en ligne chaque Mardi/Jeudi ( demande info de présentation sur formulaire de contact )

Crypto-monnaie de ceux qui n'y comprennent rien

Typologie des crypto-monnaies à l'usage de ceux qui n'y comprennent rien


On a tendance à parler des crypto-monnaies, et de leurs blockchains respectives, comme s’il s’agissait d’un tout cohérent. 

                                   https://office.bidrace.com/register/infoline

En fait, les quelques 800 monnaies électroniques existantes ont des finalités distinctes, et induisent donc des usages différents. Usbek & Rica se risque ici à une tentative de classification des différentes familles de crypto-monnaies.

Mai 2017 aura été un mois historique, et pas seulement du fait de l'élection du nouveau Président français. Le petit monde des crypto-monnaies a vécu une effervescence sans précédent, conduisant Bitcoin et ses descendants à franchir le seuil de 85 milliards de dollars en capitalisation de marché cumulée.

 Un seuil encore jamais atteint, qui témoigne d’un fort engouement pour ces monnaies électroniques qui promettent de changer le monde. L'occasion, aussi, de les distinguer en quelques catégories relativement homogènes.

1) Les monnaies universelles

Cette catégorie affiche des velléités claires : constituer une sérieuse alternative aux monnaies traditionnelles. Achats courants, e-commerce, crédits entre particuliers ou plans de retraite... En principe, tout est possible avec ces crypto-monnaies versatiles, qui ambitionnent de devenir banales pour finir par constituer des moyens de paiement globaux et universels, permettant de ne plus avoir à passer par la case banque.
Bitcoin est bien sûr la star de cette catégorie. Avec une capitalisation de plus 30 milliards d’euros, la monnaie à l'origine de la révolution blockchain en est le standard de fait. Aujourd'hui, on peut tout payer avec Bitcoin (ou presque) – acheter des billets d’avions (sur des sites dédiés ou sur Expedia) ou du Champagne –  aussi bien qu’emprunter ou régler ses factures d’électricité (en Allemagne). Et l’on peut s’en procurer de multiples manières (y compris via des distributeurs ad hoc ou des distributeurs de billets de train, en Suisse), et même facilement recevoir tout ou partie de son salaire par ce biais. Comme au Japon, qui le reconnaît comme une monnaie officielle depuis le 1er avril 2017, Bitcoin devrait rapidement apparaître comme une évidence, au moins pour qui veut reprendre le contrôle de son argent.
Bien que moins avancées en termes d’acceptation et de diffusion, d’autres crypto-monnaies ambitionnent de suivre la voie tracée par Bitcoin. Litecoin et DASH (qui peut s’utiliser avec une carte Visa) sont déjà des poids lourds largement démocratisés, tandis que des dizaines d’autres crypto-monnaies, comme DigiByte ou Vericoin, offrent des solutions techniques éprouvées.

2) Les monnaies anonymes

Il s’agit, dans une certaine mesure, d’un sous-ensemble de la catégorie précédente. Mais les crypto-monnaies cherchant à garantir l’anonymat des transactions sont nombreuses et connaissent un engouement tel qu’elles méritent une catégorie à part.
Pour leurs créateurs, l’anonymat financier est un droit, au même titre qu’avec l’argent liquide (pièces et billets). S'inscrivant dans une démarche quasi militante, ces monnaies s’échangent entre deux parties en masquant complètement leur identité, et même parfois le montant des transactions. À l’instar des messageries chiffrées, certaines de ces monnaies pourraient s’imposer, au moins comme moyens de paiement ponctuels, protégeant l’usager des indiscrétions. 
Monero, dont la valeur a été multipliée par 50 en un an (sic), fait désormais figure de poids lourd inattendu dans cette catégorie, mais Zcash, lancé en novembre 2016 et s’échangeant à plus de 200$ pièce, est un sérieux challenger. D’autres monnaies existantes ou en devenir, comme VergeBytecoinZcoinAnoncoinDigitalNoteSpectre ou BitcoinDark (Komodo), promettent toutes une forte confidentialité des transactions électroniques.

3) Les monnaies sociales

Et si l’on ajoutait aux habituelles interactions sociales en ligne – partage de liens, « upvotes », « likes » et autres emojis – des transactions financières ? Si vous aimez (vraiment) une photo, une vidéo ou un billet de blog partagé sur un réseau social, prouvez-le en envoyant un « pourboire social » à son auteur ! Telle est la mission des monnaies de cette catégorie : offrir des moyens simples, rapides et sans intermédiaire de s’envoyer entre internautes des montants infimes (de l’ordre du centime d’euro ou même moins).
L’idée est sans doute initialement apparu avec Dogecoin, l’une des plus « anciennes » crypto-monnaies, créée en 2013 comme une plaisanterie mais qui caracole toujours aux alentours du top 10 des crypto-monnaies en termes de capitalisation. D'autres monnaies ont leur propre réseau social, comme Steem, monnaie officielle de Steemit, un clone de Reddit où les utilisateurs se récompensent mutuellement, leur popularité étant assortie d’une valeur financière.
D’autres comptent devenir des outils multi-services, comme Reddcoin, qui lancera prochainement Redd-ID, un dispositif pour envoyer des transactions sur les réseaux sociaux sans utiliser d’adresses compliquées mais de simples pseudos. Et, au-delà du simple pourboire social, certaines de ces plates-formes entendent réinventer la monétisation du contenu en ligne, à l’instar de Synereoou Decent.

4) Les monnaies « plates-formes »

Pour qui s’intéresse à l’avenir d’Internet, sans se limiter aux problématiques financières et monétaires, cette catégorie est sans doute la plus intéressante. Ces crypto-monnaies ne sont pas réellement (ou uniquement) des monnaies au sens strict du terme. Elles ne permettront sans doute jamais d’acheter une brosse à dent à la supérette du coin, mais pourraient bien transformer en profondeur les applications que nous utilisons en ligne, tout en permettant la création de services d’un genre nouveau, automatisés, sécurisés et décentralisés par des blockchains.
Contrats malins (transactions conditionnelles déclenchées quand des critères pré-établis sont respectés), création de « sous-monnaies » (tokens) dédiées à des usages précis, ou applications distribuées fonctionnant sans serveur central sont quelques-unes des possibilités offertes par ces crypto-monnaies – en fait de véritables environnements de développement mis à disposition de tous pour imaginer un autre Web.
Ethereum en est sans conteste la vedette. Deuxième monnaie en capitalisation de marché (15 milliards d’euros), la blockchain créée en 2015 jouit d’une excellente image et d’un fort support industriel, illustré par la formation en février 2017 d’une Enterprise Ethereum Alliance, dont les membres fondateurs – Microsoft, JP Morgan, Accenture, Intel et une vingtaine d’autres – entendent promouvoir la solution pour développer les logiciels professionnels de demain.
Ethereum, bien que toujours en cours de développement, a du reste donné naissance à d’autres tokens phares, qui lui sont adossés et servent de support à des applications décentralisées innovantes. Sur les 20 principaux tokens en capitalisation, 15 sont basés sur Ethereum, à commencer par les poids lourds que sont Augur et Gnosis (marchés prédictifs) ou Golem (calculs distribués).
Pour autant, repenser la totalité des applications à l’aune de la décentralisation est une vaste mission, et il est probable que d’autres « crypto-monnaies plates-formes » trouveront leur place. NXT (l’une des plus anciennes du genre), Lisk(qui apportera la puissance des blockchains à tous les développeurs Javascript), Rise (étendant les possibilités de Lisk), Counterparty (adossé à Bitcoin), Waves(particulièrement simple et conviviale, offrant la création de tokens en 60 secondes), ou NEM (qui a franchi en mai 2017 le seuil de 2 milliards de dollars de capitalisation) sont quelques-uns des futurs poids lourds potentiels du secteur.

5) Les monnaies mono-usages

De nombreuses crypto-monnaies (ou des tokens émanant des cryptos plates-formes) ont été créées en ciblant une communauté précise d’utilisateurs, un marché spécifique ou des usages précis. Cette catégorie très vivace peut surprendre car elle va à l’encontre du principe de monnaie que nous connaissons (euro ou dollar universels, quels que soient les montants et les usages). Mais, à l’inverse, elle démontre une partie de l’intérêt des blockchains : délimiter des périmètres d’usage précis et offrir des outils sécurisés parfaitement adaptés à un univers donné.
On trouve ainsi des cryptos uniquement destinés au jeu en ligne, que ce soit dans une ambition multi-plateformes (GameCreditsFirstBlood), pour une plate-forme de jeu spécifique (Peerplays ou Breakout pour les jeux d’argent), ou même pour un jeu unique donné (BitCrystals, servant de “fuel” et de monnaie interne au jeu Spell of Genesis).  Plusieurs autres, comme Potcoin, ciblent le marché du cannabis médicinal légal, ou tentent de se restreindre à un usage local. D’autres encore servent de moyens de compensation pour des services de stockage de données (SiaStorj) ou de partage de temps de calcul (GolemGridcoin).

6) Les crypto-monnaies adossées au réel

Bien que portant sur des niches encore plus étroites, les crypto-monnaies indexées sur des quantités ou données tierces méritent aussi d’être mentionnées, fournissant une bonne illustration de la puissance des blockchains. 
SolarCoin récompense ainsi les producteurs d’énergie solaire (au prorata des mega-watts d’énergie propre générés), tandis que ZrCoin est adossé à la production de zirconium synthétique et Bilur gagé sur les stocks de pétrole brut. Dans cette catégorie entrent également Tether, indexé par construction sur la valeur du dollar (et offrant donc la puissance des blockchains, la stabilité en plus), ou Xaurum, indexé sur celle de l’or.
Il y en a donc pour tous les goût dans l’univers très nourri des blockchains, et il est même probable que d’autres catégories émergeront au fil de leur démocratisation. Quoi qu’il en soit, les crypto-monnaies forment déjà aujourd’hui un écosystème disparate mais d’une richesse inégalée, qui les prédispose à des usages très divers. Jouer, communiquer, parier, partager, monétiser, investir, programmer ou payer... Il y a déjà des blockchains pour tout, ou à peu près tout !   https://office.bidrace.com/register/infoline